Aventure 5 : une nuit étoilée

je viens de la pondre, j'ai pas relu.. j'editerai s'il faut.

AVENTURE 5 :
PAR UNE NUIT ETOILEE

et sont couchés dans l’herbe, il fait noir, on les discerne à peine.

PAULINE : tu t’es déjà demandé ce qu’étaient ces milliards de points blancs dans le ciel qui apparaissent quand la nuit est tombée ?
BEN : hé bien, ça doit être les étoiles.
PAULINE : Ha ! Alors c’est ça.

Et tu crois qu’il y a quoi derrières ces étoiles ? d’autres étoiles ? puis d’autres encore ? s’il arrête d’y avoir des étoiles il y aura quoi ? quoi ??
BEN : Le paradis sûrement.
PAULINE : Ha ! C’est ça … le paradis…..
BEN : Mais non ! C’etait pour rire, le paradis n’existe pas. Il y aura sûrement d’autres étoiles encore.
PAULINE : On les voit pas toutes.
BEN : on dort ?
PAULINE : C’est pour ça qu’on dit : « dormir à la belle étoile ».
BEN : Bah oui.
PAULINE : Je le savais ! Hi, hi. Je te faisais marcher.
Et …… tu penses qu’ailleurs il y a des gens comme nous ? Avec cette infinité d’étoiles, ça paraîtrait logique, non ?
BEN : C’est sûr.
PAULINE : Tu crois qu’on pourra voyager dans le temps ? Moi je ne pense pas, sinon on aurait sûrement déjà reçu des voyageurs du futur.
BEN : Ça se peut oui.
PAULINE : Je vais fumer une clope…
Elle allume une cigarette.
Les premiers rayons naissent à l’horizon, . Regarde, le jour se lève. Les oiseaux aussi s’éveille, et chante le bonheur d’une vie sans questionnement. Mais moi, tout ça, ça me donne envie de pleurer. Pleurer sur mon ignorance.
BEN : Bah, pleure…
PAULINE : Ce n’est pas gentil, ça, , de ta part.
BEN : , le soleil se lève, ça veut dire qu’il est très tard ! On a pas dormi.
PAULINE : C’est pas vraiment ton genre de vouloir dormir à tout prix !
BEN : Ça fait deux semaines, , deux semaines qu’on dort comme ça et que tu ne dors pas !!!!
PAULINE : Je m’interroge, je suis préoccupée.
BEN : Mais tu vois bien que tu ne trouves aucune réponse fiable !
PAULINE soupirant : C’est bizarre le sommeil. Les gens sont étranges. Le monde est bizarre car il est ce qu’il est, il est tout ce que nous concevons, c’est lui qui nous a appris à ne savoir que lui. Et pourtant, il est étrange par cela, il est étrange par tout ce qu’il n’est pas. Et par nous.
BEN : , je … Je vais rentrer dormir au village…
PAULINE : Pour une fois que … Rooh ! Vas t’en ! Imbécile, vas !
BEN se levant et partant : fatigué surtout…
PAULINE pour elle : Y a-t-il quelque chose qui nous dépasse, de la magie, un Dieu, une chose invisible mais soupçonnable, de manière à ce que l’on se raccroche à un songe, à une feuille qui virevolte s’accroche au ciel mais ne cesse de tomber, lentement, au sol. Le feuille s’évanouit, l’espoir perdure, nous avons du bon-sens, nous comprendrons.
se lève et part dans la direction dans laquelle est parti. Elle disparaît. S’écoulent plusieurs secondes.
Josselin se lève, baille, et s’étire.
Il se lève et part dans la même direction que les autres.
JOSSELIN : Bien dormi, moi !